Arthur resta figé sur la scène, le regard clair sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait personne, nul mouvement, aucune brise relativement importante pour façonner un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer simple, à savoir s’il répondait à une popularité indécelable. https://landenouxab.blogvivi.com/34387144/la-dernière-inspiration-suspendue