Le soleil s’écrasait sur les perles blanches brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient limitrophe de la carcasse rouillée d’une vieille cabine téléphonique. Posée seule au frontière d’une accès oubliée, elle ne figurait sur zéro carte officielle. Pourtant, chaque dimanche à midi, une corne https://angeloiueoz.blogsmine.com/34351268/la-mémoire-effacée