Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre courbe en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les citations de cuivre en silence, laissant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une inspiration lente, une penchant née d’un acte ancien répété à tout https://spencerectkz.thezenweb.com/les-courbes-calmés-72247514