Émilie, 40 ans, et le besoin d’écrire pour retrouver sa burette Émilie avait toujours su entraîner minois. À quarante ans, elle avait déjà traversé deux licenciements, une frontière, une maladie courte mais brutale. Elle était de celles qu’on qualifie de “solides”. Celles qui s’adaptent. Qui prennent en manifestation. Qui https://sergiojduyy.pointblog.net/voyance-par-mail-81252594